En marge de la réunion des partis politiques avec le chef du gouvernement, Saâdeddine El Otmani, sur les mesures prises par le Maroc pour lutter contre la pandémie de Covid-19, le Premier secrétaire de l’Union socialiste des forces populaires, Driss Lachguar, s’est félicité, dans une déclaration à nos confrères de 2m.ma, de l’initiative du chef du gouvernement consistant à entreprendre des consultations avec les acteurs du champ politique marocain, précisant que les partis politiques sont satisfaits de l’ambiance d’unité nationale et de la décision du chef du gouvernement d’institutionnaliser le dialogue autour de la crise sanitaire.
Driss Lachguar a souligné, par ailleurs, que le débat public est aujourd’hui entièrement consacré à l’après-corona pour réfléchir aux mesures qui doivent être prises, soulignant «qu’il y a une sorte de mésestimation de la crise, comme s’il s’agissait d’un pique-nique ou d’un épisode éphémère qui feraient vite partie du passé, alors qu’il est question d’une vraie catastrophe qui nécessite de grands efforts». Il a, dans ce sens, expliqué que la première et dernière préoccupation est la protection des citoyens.
Le Premier secrétaire a également affirmé que, lors de ladite réunion, les acteurs politiques ont été unanimes à souligner la bonne gestion de la lutte contre la pandémie sur les plans politique, économique et social, ajoutant que «nous avions aujourd’hui besoin d’une coalition nationale qui regroupe tout le monde, majorité et opposition, syndicats et société civile». Il a, par ailleurs, indiqué que face à cette crise, il s’est avéré que les doutes concernant les institutions du pays n’étaient pas du tout justifiés. Le dirigeant ittihadi a estimé que notre force en tant que pays a fait de nous un exemple et si l’intervention de l’Etat n’était pas efficace, la pandémie aurait eu un effet catastrophique à tous points de vue.
Concernant les propositions présentées par les partis politiques au chef du gouvernement, Driss Lachguar a expliqué qu’elles ont été axées sur l’immunité économique et la résilience de notre pays, indiquant que les bases de la résistance face à la pandémie sont liées à l’autosuffisance alimentaire et sanitaire. Il a également tenu à prévenir que malgré tout cela, nous sommes au tout début et que nous devons nous poser de nombreuses questions : que serait-il passé si nous étions dans l’obligation d’importer les denrées alimentaires ou si le Maroc s’est contenté des anciennes structures sanitaires ?
Driss Lachguar a, par ailleurs, précisé que l’opposition a reproché au chef du gouvernement un manque de coordination. «La majorité n’a pas non plus rencontré le chef du gouvernement depuis la dernière réunion sur la réforme électorale», a-t-il souligné, ajoutant que l’important aujourd’hui est d’institutionnaliser ce dialogue et d’y répondre favorablement. «Le chef du gouvernement, Saâdeddine El Otmani, s’est engagé à tenir, tout au long de la période de crise, des réunions avec les partis pour consultation», a conclu le Premier secrétaire.
Driss Lachguar a souligné, par ailleurs, que le débat public est aujourd’hui entièrement consacré à l’après-corona pour réfléchir aux mesures qui doivent être prises, soulignant «qu’il y a une sorte de mésestimation de la crise, comme s’il s’agissait d’un pique-nique ou d’un épisode éphémère qui feraient vite partie du passé, alors qu’il est question d’une vraie catastrophe qui nécessite de grands efforts». Il a, dans ce sens, expliqué que la première et dernière préoccupation est la protection des citoyens.
Le Premier secrétaire a également affirmé que, lors de ladite réunion, les acteurs politiques ont été unanimes à souligner la bonne gestion de la lutte contre la pandémie sur les plans politique, économique et social, ajoutant que «nous avions aujourd’hui besoin d’une coalition nationale qui regroupe tout le monde, majorité et opposition, syndicats et société civile». Il a, par ailleurs, indiqué que face à cette crise, il s’est avéré que les doutes concernant les institutions du pays n’étaient pas du tout justifiés. Le dirigeant ittihadi a estimé que notre force en tant que pays a fait de nous un exemple et si l’intervention de l’Etat n’était pas efficace, la pandémie aurait eu un effet catastrophique à tous points de vue.
Concernant les propositions présentées par les partis politiques au chef du gouvernement, Driss Lachguar a expliqué qu’elles ont été axées sur l’immunité économique et la résilience de notre pays, indiquant que les bases de la résistance face à la pandémie sont liées à l’autosuffisance alimentaire et sanitaire. Il a également tenu à prévenir que malgré tout cela, nous sommes au tout début et que nous devons nous poser de nombreuses questions : que serait-il passé si nous étions dans l’obligation d’importer les denrées alimentaires ou si le Maroc s’est contenté des anciennes structures sanitaires ?
Driss Lachguar a, par ailleurs, précisé que l’opposition a reproché au chef du gouvernement un manque de coordination. «La majorité n’a pas non plus rencontré le chef du gouvernement depuis la dernière réunion sur la réforme électorale», a-t-il souligné, ajoutant que l’important aujourd’hui est d’institutionnaliser ce dialogue et d’y répondre favorablement. «Le chef du gouvernement, Saâdeddine El Otmani, s’est engagé à tenir, tout au long de la période de crise, des réunions avec les partis pour consultation», a conclu le Premier secrétaire.
M.O
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