Le Premier secrétaire de l’USFP, Driss Lachguar, en compagnie des membres de la direction du parti, a eu une réunion, vendredi au siège du Parlement, avec le Groupe socialiste et ce, après avoir écouté le discours Royal prononcé à l’occasion de l’ouverture de la première session de la deuxième année législative.
A cet effet, Driss Lachguar a salué la teneur du discours Royal qui est au cœur des interrogations touchant à la conjoncture et à ses défis et qui s’inscrit en droite ligne des orientations ittihadies visant, d’une part, l’édification d’un Etat développé et équitable fondé sur des bases constitutionnelles, des lois organiques et une politique publique créatrice de modèles de développement différents et, d’autre part, la mise en place d’alternatives qui répondent aux changements que connaît la société marocaine sur l’ensemble des régions et qui nécessite, comme l’a affirmé S.M le Roi, d’accélérer l’opérationnalisation des lois y afférentes.
Le Premier secrétaire a estimé que le discours Royal est au cœur des interrogations touchant à la conjoncture et à ses défis, affirmant, par là même, la concordance entre le discours Royal et les décisions des Ittihadis contenues dans le rapport émanant du Xème Congrès du parti.
Dans ce sens, le Premier secrétaire a rappelé l’alinéa fort et significatif du discours Royal qui fait part de la nécessité d’œuvrer pour un nouveau modèle de développement se basant sur une approche participative à laquelle adhèrent gouvernement, Parlement, partis politiques et société civile.
Driss Lachguar s’est, par ailleurs, arrêté sur la déclaration Royale concernant l’ancien modèle de développement et « aux dysfonctionnements qui sévissent à tous les paliers de l’Administration et au niveau des conseils élus et des collectivités territoriales » et à la volonté relative « de redresser la situation en veillant à rectifier les erreurs commises et à corriger les dysfonctionnements constatés ». Laquelle déclaration nous interpelle tous, partant de nos positions institutionnelles au sein du gouvernement, du Parlement, du parti et des organisations parallèles, à créer des alternatives susceptibles de faire face aux faux pas et aux dysfonctionnements. En conformité avec cette thèse, le Premier secrétaire a rappelé les résolutions du dernier Congrès appelant à un nouveau système de protection sociale basé sur un modèle de développement encourageant la concurrence économique, les petites et moyennes entreprises à créer des projets générateurs de revenus, l’amélioration du pouvoir d’achat des citoyens, le renforcement de la dimension régionale à travers la consolidation de la cohésion sociale, l’équité territoriale et spatiale, l’attractivité des investissements. Il s’agit là du modèle défendu par l’USFP basé sur un pacte économique avec une importante dimension sociale qui se traduit par une nouvelle génération de réformes touchant les secteurs sociaux vitaux. Particulièrement, ceux de l’emploi, afin d’affronter le fléau du chômage des jeunes, les problèmes de l’éducation, de la formation, de la santé et de l’habitat et d’accorder la plus grande importance au capital humain tout en augmentant le volume des investissements consentis pour le développement économique, en bénéficiant du développement technologique à tous les niveaux, en incitant à la créativité et aux activités économiques offrant des opportunités d’emploi, d’égalité des chances et de protection des catégories précaires.
Le Premier secrétaire, dans ce même ordre d’idées, a exhorté les parlementaires ittihadis à adhérer d’une manière effective au contenu du discours Royal, à saisir le sens fort de la corrélation entre responsabilité et reddition des comptes, à se diriger vers davantage de précision en matière de proximité et de suivi des différents dossiers locaux et nationaux intéressant la Nation et les citoyens, tant en ce qui concerne le contrôle de l’action gouvernementale que les politiques publiques des différentes institutions, de dévoiler toutes les violations qui nuisent à la Nation et au citoyen directement ou de manière indirecte.
Driss Lachguar a également appelé à redoubler d’efforts en déposant des propositions de lois à même de mettre la Constitution au cœur des procédures organisant l’action de l’Etat et de la société et facilitant l’application du concept de corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes en vue de promouvoir une société qui joue son rôle en matière de développement devant hisser le Maroc au rang des pays démocratiques.
A cet effet, Driss Lachguar a salué la teneur du discours Royal qui est au cœur des interrogations touchant à la conjoncture et à ses défis et qui s’inscrit en droite ligne des orientations ittihadies visant, d’une part, l’édification d’un Etat développé et équitable fondé sur des bases constitutionnelles, des lois organiques et une politique publique créatrice de modèles de développement différents et, d’autre part, la mise en place d’alternatives qui répondent aux changements que connaît la société marocaine sur l’ensemble des régions et qui nécessite, comme l’a affirmé S.M le Roi, d’accélérer l’opérationnalisation des lois y afférentes.
Le Premier secrétaire a estimé que le discours Royal est au cœur des interrogations touchant à la conjoncture et à ses défis, affirmant, par là même, la concordance entre le discours Royal et les décisions des Ittihadis contenues dans le rapport émanant du Xème Congrès du parti.
Dans ce sens, le Premier secrétaire a rappelé l’alinéa fort et significatif du discours Royal qui fait part de la nécessité d’œuvrer pour un nouveau modèle de développement se basant sur une approche participative à laquelle adhèrent gouvernement, Parlement, partis politiques et société civile.
Driss Lachguar s’est, par ailleurs, arrêté sur la déclaration Royale concernant l’ancien modèle de développement et « aux dysfonctionnements qui sévissent à tous les paliers de l’Administration et au niveau des conseils élus et des collectivités territoriales » et à la volonté relative « de redresser la situation en veillant à rectifier les erreurs commises et à corriger les dysfonctionnements constatés ». Laquelle déclaration nous interpelle tous, partant de nos positions institutionnelles au sein du gouvernement, du Parlement, du parti et des organisations parallèles, à créer des alternatives susceptibles de faire face aux faux pas et aux dysfonctionnements. En conformité avec cette thèse, le Premier secrétaire a rappelé les résolutions du dernier Congrès appelant à un nouveau système de protection sociale basé sur un modèle de développement encourageant la concurrence économique, les petites et moyennes entreprises à créer des projets générateurs de revenus, l’amélioration du pouvoir d’achat des citoyens, le renforcement de la dimension régionale à travers la consolidation de la cohésion sociale, l’équité territoriale et spatiale, l’attractivité des investissements. Il s’agit là du modèle défendu par l’USFP basé sur un pacte économique avec une importante dimension sociale qui se traduit par une nouvelle génération de réformes touchant les secteurs sociaux vitaux. Particulièrement, ceux de l’emploi, afin d’affronter le fléau du chômage des jeunes, les problèmes de l’éducation, de la formation, de la santé et de l’habitat et d’accorder la plus grande importance au capital humain tout en augmentant le volume des investissements consentis pour le développement économique, en bénéficiant du développement technologique à tous les niveaux, en incitant à la créativité et aux activités économiques offrant des opportunités d’emploi, d’égalité des chances et de protection des catégories précaires.
Le Premier secrétaire, dans ce même ordre d’idées, a exhorté les parlementaires ittihadis à adhérer d’une manière effective au contenu du discours Royal, à saisir le sens fort de la corrélation entre responsabilité et reddition des comptes, à se diriger vers davantage de précision en matière de proximité et de suivi des différents dossiers locaux et nationaux intéressant la Nation et les citoyens, tant en ce qui concerne le contrôle de l’action gouvernementale que les politiques publiques des différentes institutions, de dévoiler toutes les violations qui nuisent à la Nation et au citoyen directement ou de manière indirecte.
Driss Lachguar a également appelé à redoubler d’efforts en déposant des propositions de lois à même de mettre la Constitution au cœur des procédures organisant l’action de l’Etat et de la société et facilitant l’application du concept de corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes en vue de promouvoir une société qui joue son rôle en matière de développement devant hisser le Maroc au rang des pays démocratiques.
H.T.
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