La complémentarité entre les potentialités du monde arabe et de l’Afrique, le volume de leurs marchés et la position géographique importante de ces deux pôles constituent la pierre angulaire d’un partenariat solide et productif des richesses, a souligné mercredi à Rabat, le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki.
L’Afrique est le continent d’avenir et des opportunités d’investissement et le monde arabe, avec sa position et ses richesses, peuvent devenir ensemble une puissance économique émergente, a relevé M. El Malki à l’ouverture du 10è congrès et de la 11è réunion du Conseil de la Ligue des conseils de la Choura, des sénats et des Conseils similaires d’Afrique et du monde arabe, organisée sur deux jours sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Certes, l’Afrique et le monde arabe font face à plusieurs fléaux, notamment le terrorisme et l’extrémisme, le sous-développement, l’instabilité et l’exode massif en raison des guerres et de la sécheresse, mais ils possèdent en contrepartie d’énormes potentialités, dont des matières premières, des terres fertiles et des ressources humaines jeunes, qui peuvent devenir une vraie richesse en s’appuyant sur une volonté politique basée sur la planification et l’intérêt des peuples, a-t-il soutenu.
« Il ne s’agit pas d’un rêve, mais d’objectifs réalisables, qui reposent sur la confiance et les intérêts communs » a-t-il estimé, notant que l’Union africaine demeure le cadre continental convenable pour consolider la coopération africaine multipartite.
La politique africaine adoptée par le Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, s’inscrit en droite ligne avec l’édification d’une nouvelle Afrique et le renforcement de la coopération et des échanges Sud-Sud, a-t-il soutenu, relevant que le Parlement marocain s’engage dans cette nouvelle dynamique, en mobilisant toutes ses ressources et en contribuant à la consolidation des relations avec les Parlements africains et les organisations parlementaires continentales.
Par ailleurs, le président de la Chambre des représentants a insisté sur l’importance de la démocratie, en tant que condition pour le développement commun et la coopération économique entre l’Afrique et le monde arabe, soulignant que le progrès économique de l’Union européenne n’a pas été possible sans une volonté politique et l’adoption d’un système démocratique.
Le Maroc a choisi la démocratie, l’État des institutions et le pluralisme en tant que principes fondamentaux ancrés dans son système politique, a-t-il confirmé, notant que le choix d’un Parlement bicaméral a été volontaire, de façon à garantir la complémentarité et l’équilibre et à renforcer la démocratie des institutions.
A travers l’histoire, le système des deux Chambres a prouvé son efficacité, comme en témoignent les exemples français, britannique, américain et espagnol, qui comptent parmi les plus anciennes démocraties, a-t-il fait remarquer, ajoutant que le souci majeur demeure la recherche de la stabilité institutionnelle, l’équilibre entre les pouvoirs et l’élargissement de la représentativité, afin de faire évoluer la pratique démocratique et assurer la stabilité politique, en tant qu’objectifs communs des organisations internationales.
Cette session, qui s’inscrit dans un contexte régional et international particulier, contribuera de manière qualitative à l’enrichissement du dialogue, des discussions et des consultations afro-arabes concernant les questions stratégiques à l’ordre du jour.
Elle sera, également, une occasion pour donner un nouveau souffle à la coopération afro-arabe, conformément à une stratégie de développement globale et une vision africaine et arabe participative, complémentaire et solidaire, basée sur la consolidation des intérêts économiques et des liens humanitaires entre les pays membres.
L’Afrique est le continent d’avenir et des opportunités d’investissement et le monde arabe, avec sa position et ses richesses, peuvent devenir ensemble une puissance économique émergente, a relevé M. El Malki à l’ouverture du 10è congrès et de la 11è réunion du Conseil de la Ligue des conseils de la Choura, des sénats et des Conseils similaires d’Afrique et du monde arabe, organisée sur deux jours sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Certes, l’Afrique et le monde arabe font face à plusieurs fléaux, notamment le terrorisme et l’extrémisme, le sous-développement, l’instabilité et l’exode massif en raison des guerres et de la sécheresse, mais ils possèdent en contrepartie d’énormes potentialités, dont des matières premières, des terres fertiles et des ressources humaines jeunes, qui peuvent devenir une vraie richesse en s’appuyant sur une volonté politique basée sur la planification et l’intérêt des peuples, a-t-il soutenu.
« Il ne s’agit pas d’un rêve, mais d’objectifs réalisables, qui reposent sur la confiance et les intérêts communs » a-t-il estimé, notant que l’Union africaine demeure le cadre continental convenable pour consolider la coopération africaine multipartite.
La politique africaine adoptée par le Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, s’inscrit en droite ligne avec l’édification d’une nouvelle Afrique et le renforcement de la coopération et des échanges Sud-Sud, a-t-il soutenu, relevant que le Parlement marocain s’engage dans cette nouvelle dynamique, en mobilisant toutes ses ressources et en contribuant à la consolidation des relations avec les Parlements africains et les organisations parlementaires continentales.
Par ailleurs, le président de la Chambre des représentants a insisté sur l’importance de la démocratie, en tant que condition pour le développement commun et la coopération économique entre l’Afrique et le monde arabe, soulignant que le progrès économique de l’Union européenne n’a pas été possible sans une volonté politique et l’adoption d’un système démocratique.
Le Maroc a choisi la démocratie, l’État des institutions et le pluralisme en tant que principes fondamentaux ancrés dans son système politique, a-t-il confirmé, notant que le choix d’un Parlement bicaméral a été volontaire, de façon à garantir la complémentarité et l’équilibre et à renforcer la démocratie des institutions.
A travers l’histoire, le système des deux Chambres a prouvé son efficacité, comme en témoignent les exemples français, britannique, américain et espagnol, qui comptent parmi les plus anciennes démocraties, a-t-il fait remarquer, ajoutant que le souci majeur demeure la recherche de la stabilité institutionnelle, l’équilibre entre les pouvoirs et l’élargissement de la représentativité, afin de faire évoluer la pratique démocratique et assurer la stabilité politique, en tant qu’objectifs communs des organisations internationales.
Cette session, qui s’inscrit dans un contexte régional et international particulier, contribuera de manière qualitative à l’enrichissement du dialogue, des discussions et des consultations afro-arabes concernant les questions stratégiques à l’ordre du jour.
Elle sera, également, une occasion pour donner un nouveau souffle à la coopération afro-arabe, conformément à une stratégie de développement globale et une vision africaine et arabe participative, complémentaire et solidaire, basée sur la consolidation des intérêts économiques et des liens humanitaires entre les pays membres.
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