Younes Moujahid : Les criminels de guerre doivent répondre de leurs actes
Le premier vice-président de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) et président du Conseil national de la presse au Maroc, Younes Moujahid, a été victime d’une attaque au gaz lacrymogène et avec des produits chimiques interdits par les conventions internationales par les forces de l’occupation israéliennes alors qu’il était en visite officielle à Ramallah, en Cisjordanie en compagnie des membres du Comité exécutif de la FIJ.
Les journalistes qui manifestaient pacifiquement samedi dernier pour exprimer leur solidarité avec leurs confrères palestiniens près du check point de Qalandiya, ont suffoqué du fait de l’utilisation de ces produits et quelques-uns d’entre eux ont été grièvement blessés dont Nasser Abou Bakr, président de l’Union des journalistes palestiniens. Lequel a affirmé par la suite dans une déclaration à la presse que « les criminels de guerre doivent répondre de leurs actes », tout en affirmant que «cette agression contre des journalistes internationaux et des Palestiniens confirme aujourd’hui que l’occupation israélienne prend comme cible les journalistes et fait fi des règles éthiques minimales dans leur traitement » et que l’agression de samedi s’ajoute aux crimes de l’occupation contre les journalistes palestiniens
« Les journalistes arabes connaissent cette réalité en raison de notre suivi quotidien de la cause palestinienne, mais de nombreux membres du Comité exécutif de la FIJ présents aujourd’hui ne sont pas arabes », a déclaré, pour sa part, Younes Moujahid.
Le premier vice-président de la FIJ a également précisé que « les forces d’occupation n’ont pas respecté les règles minimales en matière de dispersion des manifestations. Le message d’aujourd’hui était fort clair : l’agression vise la FIJ dans le cadre d’un plan de représailles contre cette organisation et ses positions fermes contre les violences de l’occupation contre les journalistes palestiniens et contre les atteintes à la liberté de la presse et la fermeture des médias ».
Il convient de rappeler que les membres de la délégation de la FIJ ont été reçus par le président palestinien, Mahmoud Abbas Abou Mazen, qui a mis en exergue l’importance de leur visite en Palestine, réitérant son soutien total à la liberté de la presse, au travail des journalistes palestiniens et à leur rôle important dans la transmission du message de leur peuple et son droit à la liberté et à l’indépendance et à la création de son Etat indépendant avec Al-Qods comme capitale.
Le président palestinien leur a, selon Younes Moujahid, expliqué que la solution de la question palestinienne « est entre les mains des Etats-Unis qui s’opposent à la mise en œuvre de toutes les décisions du Conseil de sécurité concernant Israël », tout en déplorant les décisions prises par le président américain, Donald Trump, qui a « fermé les bureaux de l’OLP à Washington, transféré l’ambassade américaine à Al-Qods et suspendu la participation financière de son pays à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ».
Les journalistes qui manifestaient pacifiquement samedi dernier pour exprimer leur solidarité avec leurs confrères palestiniens près du check point de Qalandiya, ont suffoqué du fait de l’utilisation de ces produits et quelques-uns d’entre eux ont été grièvement blessés dont Nasser Abou Bakr, président de l’Union des journalistes palestiniens. Lequel a affirmé par la suite dans une déclaration à la presse que « les criminels de guerre doivent répondre de leurs actes », tout en affirmant que «cette agression contre des journalistes internationaux et des Palestiniens confirme aujourd’hui que l’occupation israélienne prend comme cible les journalistes et fait fi des règles éthiques minimales dans leur traitement » et que l’agression de samedi s’ajoute aux crimes de l’occupation contre les journalistes palestiniens
« Les journalistes arabes connaissent cette réalité en raison de notre suivi quotidien de la cause palestinienne, mais de nombreux membres du Comité exécutif de la FIJ présents aujourd’hui ne sont pas arabes », a déclaré, pour sa part, Younes Moujahid.
Le premier vice-président de la FIJ a également précisé que « les forces d’occupation n’ont pas respecté les règles minimales en matière de dispersion des manifestations. Le message d’aujourd’hui était fort clair : l’agression vise la FIJ dans le cadre d’un plan de représailles contre cette organisation et ses positions fermes contre les violences de l’occupation contre les journalistes palestiniens et contre les atteintes à la liberté de la presse et la fermeture des médias ».
Il convient de rappeler que les membres de la délégation de la FIJ ont été reçus par le président palestinien, Mahmoud Abbas Abou Mazen, qui a mis en exergue l’importance de leur visite en Palestine, réitérant son soutien total à la liberté de la presse, au travail des journalistes palestiniens et à leur rôle important dans la transmission du message de leur peuple et son droit à la liberté et à l’indépendance et à la création de son Etat indépendant avec Al-Qods comme capitale.
Le président palestinien leur a, selon Younes Moujahid, expliqué que la solution de la question palestinienne « est entre les mains des Etats-Unis qui s’opposent à la mise en œuvre de toutes les décisions du Conseil de sécurité concernant Israël », tout en déplorant les décisions prises par le président américain, Donald Trump, qui a « fermé les bureaux de l’OLP à Washington, transféré l’ambassade américaine à Al-Qods et suspendu la participation financière de son pays à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) ».
M. Tabet
Visitors comments ( 0 )