De l’éthique, de la déontologie, de la crédibilité, ils n’en ont cure.
Si seulement cela s’appliquait à cette ribambelle de scribouillards qui se sont improvisés journaleux au gré du foisonnement de sites électroniques trop peu scrupuleux ! Le comble, c’est quand un quotidien connu de la place et qui a pignon sur rue se hasarde à faire dans le mensonge, dans la diffamation et l’intox.
Les militantes et les militants ittihadis, qui se sont réunis récemment à Casablanca dans le cadre des préparatifs de la célébration du 60ème anniversaire de l’USFP, étaient les premiers à s’étonner du contenu d’un «article» supposé être journalistique qui était truffé de contre-vérités et autres balivernes et dans lequel la mauvaise foi était plus que manifeste. Comment, nom de Dieu, un individu qui se prétend journaliste peut-il se permettre de se ridiculiser de la sorte et porter un coup assassin à la plus noble des professions?
Impensable. A moins que l’on soit téléguidé grave. A moins que l’on ne soit pas plus qu’un pantin, maniable à souhait par un commanditaire véreux. Et dans ce cas, il faut penser à changer dare-dare de métier.
Et que dire d’un autre illuminé qui s’en est allé inventer tout un scénario à dormir debout ?
De sa tour d’ivoire, il croit tout voir. Même ce qui se passe dans la cour, à côté ou bien au-delà!
Dans le remaniement du gouvernement, il aurait vu ce que personne d’autre n’a été en mesure de voir, pour la simple raison que c’est tout bonnement une invention de son esprit (…).
Il a poussé le génie fabulateur, l’indécence plutôt, jusqu’à attribuer à des sommités ittihadies, des leaders connus pour leur probité, leur dignité et un respect profond des institutions des actes qui ne cadrent nullement avec leur sagesse, leur sagacité et leur personnalité.
Mais, et c’est connu, depuis l’ère des temps, l’USFP dérange ces gens mal intentionnés. Leur problème, c’est qu’il continuera à le faire dans le seul intérêt du pays et celui des forces populaires.Libération
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