La gouvernance publique est au cœur du programme de réforme de l’administration et de la fonction publique, a affirmé, mercredi à Casablanca, Mohamed Ben Abdelkader, ministre chargé de la Réforme de l’administration et de la Fonction publique.
«L’instauration d’un leadership public à la lumière de la gouvernance publique citoyenne est tributaire de la mise en place d’une fonction publique professionnelle, citoyenne et en parfaite harmonie avec les principes de mérite, d’égalité, de transparence, d’efficacité et de reddition des comptes», a souligné Mohamed Ben Abdelkader qui animait une conférence-débat sur « Quelle gouvernance publique pour une administration au service du citoyen?».
Lors de cette rencontre organisée par le groupe Institut supérieur de commerce et d’administration des entreprises (ISCAE), le ministre délégué a expliqué que le système de réforme marocain est centré sur quatre axes, à savoir la transformation numérique, la transformation organisationnelle, la transformation éthique et la transformation managériale, insistant sur l’importance de la bonne gouvernance pour répondre aux besoins des citoyens et offrir un service public de qualité tel que défini par la Constitution.
Au cours de sa présentation, Mohamed Ben Abdelkader a fait valoir que l’amélioration de la qualité des services publics passe par l’amélioration de l’efficacité des ressources humaines, la remise à niveau des équipements publics et le soutien de la politique de déconcentration, ainsi que le renforcement de la coordination quant aux projets interministériels.
Le Maroc s’est engagé dans un processus intégré de réformes structurelles et institutionnelles guidé par les orientations éclairées et la vision moderniste de S.M le Roi Mohammed VI, lesquelles traduisent les principes et les dispositions de la Constitution notamment celles relatives à la consolidation de la bonne gouvernance publique, a-t-il rappelé, ajoutant que les Etats font face aujourd’hui à plusieurs risques liés aux effets de la mondialisation et de la révolution numérique.
Le responsable a, en outre, assuré que les réformes engagées ont pour finalité d’améliorer la performance et le rendement de l’administration publique à travers le renforcement de la culture du mérite et de proximité outre l’amélioration de la gouvernance publique.
Evoquant le secteur de l’éducation, Mohamed Ben Abdelkader a insisté sur l’importance de prendre en considération les spécificités et les besoins futurs du secteur privé dans le système d’éducation marocain afin de mieux préparer les jeunes générations aux nouveaux métiers.
Abordant le sujet de la corruption, le ministre délégué a souligné que la Commission nationale de lutte contre la corruption, placée sous l’autorité du chef du gouvernement et composée des représentants des autorités gouvernementales, d’instances de gouvernance, d’institutions concernées et d’ONG, œuvre actuellement pour la mise à exécution de la stratégie nationale de lutte contre la corruption à travers l’’étude, l’adoption et le suivi des programmes, projets et initiatives visant à lutter contre la corruption.
«L’instauration d’un leadership public à la lumière de la gouvernance publique citoyenne est tributaire de la mise en place d’une fonction publique professionnelle, citoyenne et en parfaite harmonie avec les principes de mérite, d’égalité, de transparence, d’efficacité et de reddition des comptes», a souligné Mohamed Ben Abdelkader qui animait une conférence-débat sur « Quelle gouvernance publique pour une administration au service du citoyen?».
Lors de cette rencontre organisée par le groupe Institut supérieur de commerce et d’administration des entreprises (ISCAE), le ministre délégué a expliqué que le système de réforme marocain est centré sur quatre axes, à savoir la transformation numérique, la transformation organisationnelle, la transformation éthique et la transformation managériale, insistant sur l’importance de la bonne gouvernance pour répondre aux besoins des citoyens et offrir un service public de qualité tel que défini par la Constitution.
Au cours de sa présentation, Mohamed Ben Abdelkader a fait valoir que l’amélioration de la qualité des services publics passe par l’amélioration de l’efficacité des ressources humaines, la remise à niveau des équipements publics et le soutien de la politique de déconcentration, ainsi que le renforcement de la coordination quant aux projets interministériels.
Le Maroc s’est engagé dans un processus intégré de réformes structurelles et institutionnelles guidé par les orientations éclairées et la vision moderniste de S.M le Roi Mohammed VI, lesquelles traduisent les principes et les dispositions de la Constitution notamment celles relatives à la consolidation de la bonne gouvernance publique, a-t-il rappelé, ajoutant que les Etats font face aujourd’hui à plusieurs risques liés aux effets de la mondialisation et de la révolution numérique.
Le responsable a, en outre, assuré que les réformes engagées ont pour finalité d’améliorer la performance et le rendement de l’administration publique à travers le renforcement de la culture du mérite et de proximité outre l’amélioration de la gouvernance publique.
Evoquant le secteur de l’éducation, Mohamed Ben Abdelkader a insisté sur l’importance de prendre en considération les spécificités et les besoins futurs du secteur privé dans le système d’éducation marocain afin de mieux préparer les jeunes générations aux nouveaux métiers.
Abordant le sujet de la corruption, le ministre délégué a souligné que la Commission nationale de lutte contre la corruption, placée sous l’autorité du chef du gouvernement et composée des représentants des autorités gouvernementales, d’instances de gouvernance, d’institutions concernées et d’ONG, œuvre actuellement pour la mise à exécution de la stratégie nationale de lutte contre la corruption à travers l’’étude, l’adoption et le suivi des programmes, projets et initiatives visant à lutter contre la corruption.
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