Mohamed Ben Abdelkader lors d’une rencontre à Tétouan : Rétablir la confiance entre le citoyen et l’administration
Le projet de
t de loi relatif au droit d’accès à l’information constitue un pilier essentiel pour rétablir la confiance entre le citoyen et l’administration et renforcer la prévention de la corruption, a affirmé, vendredi soir à Tétouan, le ministre délégué chargé de la Réforme de l’Administration et de la Fonction publique, Mohamed Ben Abdelkader.
S’exprimant lors d’une rencontre sur «Le droit d’accès aux informations», initiée par le Centre marocain d’études et de recherches en médias et communication, le ministre délégué a assuré que le projet de loi relatif au droit d’accès à l’information, adopté récemment par la Chambre des représentants en deuxième lecture, ambitionne de renforcer la citoyenneté, rétablir la confiance entre le citoyen et l’administration et de permettre aux citoyens de participer activement à la gestion de la chose locale.
Dans ce cadre, Mohamed Ben Abdelkader a précisé que ce projet de loi vise en particulier à garantir aux citoyens le droit d’accès à l’information auprès des instances chargées du service public et celles élues, mettant en avant ses dispositions, son importance et les défis qui y sont liés, notamment, au renforcement de la transparence, la moralisation de la vie publique, la prévention de la corruption, la consécration effective du droit d’accès à l’information et l’amélioration des services publics.
Pour sa part, le directeur du Centre marocain d’études et de recherches en médias et communication, Abdeslam El Andaloussi, a souligné que cette rencontre s’inscrit dans le cadre des activités scientifiques du Centre et vise à rapprocher le public des nouveautés du projet de loi relatif au droit d’accès à l’information.
Cette manifestation, qui a connu la participation d’académiciens, d’intellectuels et d’acteurs de la société civile, a été une occasion pour mettre en avant l’importance de cette loi, les mécanismes et les moyens nécessaires pour faciliter l’accès à l’information.
Il convient de rappeler que lors de la présentation de ce projet de loi, au début de l’année en cours, devant la Chambre des conseillers, Mohamed Ben Abdelkader avait rappelé que l’élaboration de ce texte s’inscrivait dans le cadre des efforts du gouvernement visant à mettre en application les dispositions de la Constitution et les objectifs de la Déclaration gouvernementale concernant le volet relatif au renforcement de la confiance entre l’administration et ses usagers. Ce projet, élaboré dans le cadre d’une approche participative et une concertation élargie, constitue un pilier fondamental pour soutenir les principes d’ouverture et de transparence et un levier essentiel en matière de recherche scientifique et de connaissances, avait souligné le ministre délégué.
Mohamed Ben Abdelkader avait également relevé que le projet concrétise les mesures prévues dans le projet «gouvernement ouvert», ainsi que les principes de moralisation et de contrôle des services administratifs en vue d’assurer la transparence et la probité en matière de gestion de la chose publique.
Il avait également indiqué que le projet confirme l’interactivité positive du Maroc avec l’intérêt accordé par la communauté internationale à cette question, dans le cadre des engagements et des accords ratifiés par le Royaume.
Par ailleurs, le ministre délégué avait indiqué, en octobre dernier lors d’une rencontre organisée par son département en collaboration avec l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) sur «Le droit d’accès à l’information», que le projet de loi 31.13 traduit de manière effective les mesures et principes du projet du «Gouvernement ouvert» et constitue la consécration des bases et des règlements de la moralisation de la pratique administrative et la reddition des comptes pour garantir la crédibilité et la transparence dans la gestion de la chose publique.
Ce projet, a-t-il ajouté, vise également la mise en œuvre des dispositions de la Constitution relatives à la préservation des droits et des libertés fondamentales, notant qu’il s’inscrit dans le cadre de la concrétisation du premier axe des objectifs du programme gouvernemental relatif au soutien du choix démocratique et de l’Etat de droit et à la consolidation de la régionalisation avancée.
Selon lui, ce projet de loi témoigne de l’engagement constant du Maroc en faveur des droits de l’Homme tels qu’ils sont reconnus mondialement et de l’attachement du Royaume aux dispositions de l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ainsi que de l’article 10 de la convention des Nations unies de lutte contre la corruption.
En attente d’approbation par la Chambre des conseillers, après son adoption déjà par celle des représentants, ce texte reflète l’interaction positive du gouvernement avec l’intérêt international accordé à ce sujet. Il permettra au Maroc de promouvoir l’attractivité des investissements et l’amélioration du climat d’affaires.
S’exprimant lors d’une rencontre sur «Le droit d’accès aux informations», initiée par le Centre marocain d’études et de recherches en médias et communication, le ministre délégué a assuré que le projet de loi relatif au droit d’accès à l’information, adopté récemment par la Chambre des représentants en deuxième lecture, ambitionne de renforcer la citoyenneté, rétablir la confiance entre le citoyen et l’administration et de permettre aux citoyens de participer activement à la gestion de la chose locale.
Dans ce cadre, Mohamed Ben Abdelkader a précisé que ce projet de loi vise en particulier à garantir aux citoyens le droit d’accès à l’information auprès des instances chargées du service public et celles élues, mettant en avant ses dispositions, son importance et les défis qui y sont liés, notamment, au renforcement de la transparence, la moralisation de la vie publique, la prévention de la corruption, la consécration effective du droit d’accès à l’information et l’amélioration des services publics.
Pour sa part, le directeur du Centre marocain d’études et de recherches en médias et communication, Abdeslam El Andaloussi, a souligné que cette rencontre s’inscrit dans le cadre des activités scientifiques du Centre et vise à rapprocher le public des nouveautés du projet de loi relatif au droit d’accès à l’information.
Cette manifestation, qui a connu la participation d’académiciens, d’intellectuels et d’acteurs de la société civile, a été une occasion pour mettre en avant l’importance de cette loi, les mécanismes et les moyens nécessaires pour faciliter l’accès à l’information.
Il convient de rappeler que lors de la présentation de ce projet de loi, au début de l’année en cours, devant la Chambre des conseillers, Mohamed Ben Abdelkader avait rappelé que l’élaboration de ce texte s’inscrivait dans le cadre des efforts du gouvernement visant à mettre en application les dispositions de la Constitution et les objectifs de la Déclaration gouvernementale concernant le volet relatif au renforcement de la confiance entre l’administration et ses usagers. Ce projet, élaboré dans le cadre d’une approche participative et une concertation élargie, constitue un pilier fondamental pour soutenir les principes d’ouverture et de transparence et un levier essentiel en matière de recherche scientifique et de connaissances, avait souligné le ministre délégué.
Mohamed Ben Abdelkader avait également relevé que le projet concrétise les mesures prévues dans le projet «gouvernement ouvert», ainsi que les principes de moralisation et de contrôle des services administratifs en vue d’assurer la transparence et la probité en matière de gestion de la chose publique.
Il avait également indiqué que le projet confirme l’interactivité positive du Maroc avec l’intérêt accordé par la communauté internationale à cette question, dans le cadre des engagements et des accords ratifiés par le Royaume.
Par ailleurs, le ministre délégué avait indiqué, en octobre dernier lors d’une rencontre organisée par son département en collaboration avec l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) sur «Le droit d’accès à l’information», que le projet de loi 31.13 traduit de manière effective les mesures et principes du projet du «Gouvernement ouvert» et constitue la consécration des bases et des règlements de la moralisation de la pratique administrative et la reddition des comptes pour garantir la crédibilité et la transparence dans la gestion de la chose publique.
Ce projet, a-t-il ajouté, vise également la mise en œuvre des dispositions de la Constitution relatives à la préservation des droits et des libertés fondamentales, notant qu’il s’inscrit dans le cadre de la concrétisation du premier axe des objectifs du programme gouvernemental relatif au soutien du choix démocratique et de l’Etat de droit et à la consolidation de la régionalisation avancée.
Selon lui, ce projet de loi témoigne de l’engagement constant du Maroc en faveur des droits de l’Homme tels qu’ils sont reconnus mondialement et de l’attachement du Royaume aux dispositions de l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, ainsi que de l’article 10 de la convention des Nations unies de lutte contre la corruption.
En attente d’approbation par la Chambre des conseillers, après son adoption déjà par celle des représentants, ce texte reflète l’interaction positive du gouvernement avec l’intérêt international accordé à ce sujet. Il permettra au Maroc de promouvoir l’attractivité des investissements et l’amélioration du climat d’affaires.
RENCONTRE NATIONALE DE LA HAUTE FONCTION PUBLIQUE
Sous le Haut patronage de S.M le Roi, le ministère chargé de la Réforme de l’administration et de la Fonction publique organisera demain mardi 27 février à Skhirat la rencontre nationale de la haute fonction publique.
Selon un communiqué de ce département, ces assises qui connaîtront la participation de près de 600 hauts responsables dont des secrétaires et des inspecteurs généraux, des directeurs centraux et régionaux ainsi que des experts visent à approfondir la réflexion sur le système de la haute fonction publique dans toutes ses composantes et à établir les scénarios possibles de la réforme de celle-ci.
Selon un communiqué de ce département, ces assises qui connaîtront la participation de près de 600 hauts responsables dont des secrétaires et des inspecteurs généraux, des directeurs centraux et régionaux ainsi que des experts visent à approfondir la réflexion sur le système de la haute fonction publique dans toutes ses composantes et à établir les scénarios possibles de la réforme de celle-ci.
Libé
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